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Tabilalt
16 Avril 2012, 18:12
Bonjour

je repasse pour te dire à nouveau merci pour ces articles.
Tabilalt
23 Mars 2012, 14:01
Merci pour les réponses. J'espère que tu trouveras d'autres personnes pour participer à cet article, car il serait très utile. Je n'avais pas compris que le contact visuel pouvait être dérangeant.

J'ai d'ailleurs le même problème avec mon mari, qui est neurotype (j'ai cherché le mot entretemps) mais d'une autre culture, et quand on a une discussion tendue, comme cela peut arriver, ça m'est toujours très difficile de devoir me rappeler, en même temps que "non, il ne baisse pas les yeux pour fuir / parce qu'il est faux cul / etc mais parce qu'il a été conditionné à faire comme ça".

Pour le reste, finalement, cela me semble du bon sens (et des choses qu'on doit faire aussi avec tout le monde, comme ne jamais faire de supposition sur le contenu de la tête des gens, c'est si surprenant... mais nobody's perfect !)

Ce qui est particulièrement intéressant dans ton témoignage, c'est que d'habitude on parle des autistes avec de très gros problèmes, mais jamais des difficultés des gens qui "s'en sortent" comme tu dis. Depuis que j'ai lu ton premier témoignage, j'y pense régulièrement, et je me pose beaucoup de questions, y compris sur des gens que j'ai pu croiser. Encore merci :)
Tabilalt
23 Mars 2012, 13:02
Merci pour ce second article. Comme Leucha, je reste sur ma faim, mais je comprends la volonté de ne pas trop charger la barque.

J'espère aussi qu'un thème essentiel sera abordé : que peut faire une personne "non atteinte" (je préfère cela à normale ^^) pour faciliter la communication et l'interaction ?

Je jette en vrac ce qui m'est passé par la tête, mais aussi les questions qui viennent en même temps :

- quand on a quelque chose à dire, essayez d'être dans le champ visuel, de manifester sa présence, et pas de dire quelque chose au passage, de son bureau, ou par dessus l'épaule (en plus ça devrait s'appliquer tout le temps)
- clarifier de façon très claire et très objective ses sentiments : "je suis contente", "je ne dis pas ça parce que je suis fâchée, mais pour faire avancer tel ou tel point", "j'ai tel problème avec tel comportement" "j'attends tel résultat", donc faire l'effort de supprimer sous entendus, non dits et "y'a pas besoin de le dire". Bon ok, mais ce n'est pas parce qu'une personne autiste a un handicap qu'elle n'a pas de sentiments, et ça peut aussi être perçu comme une attitude très rentre-dedans, ou très blessante, parfois, non ?
- peut-on poser clairement la question à quelqu'un : "je vois que nous avons des difficultés à nous comprendre, de mon côté, telle et telle chose, pouvons nous mettre en place un fonctionnement qui nous aide mutuellement" ?
Tabilalt
16 Mars 2012, 22:41
Bonsoir,

je viens de découvrir votre témoignage, et je tenais à vous en remercier. C'est la première fois que j'arrive à comprendre ce qui se cache derrière ce mot. Personnellement je ne connais pas d'autiste, mais une de mes "amies virtuelles" a un enfant autiste et j'ai toujours voulu en savoir plus.
En plus je trouve votre énergie et votre humour très revigorants.

J'attend la suite avec impatience.

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