Merci pour ce second article. Comme Leucha, je reste sur ma faim, mais je comprends la volonté de ne pas trop charger la barque.
J'espère aussi qu'un thème essentiel sera abordé : que peut faire une personne "non atteinte" (je préfère cela à normale ^^) pour faciliter la communication et l'interaction ?
Je jette en vrac ce qui m'est passé par la tête, mais aussi les questions qui viennent en même temps :
- quand on a quelque chose à dire, essayez d'être dans le champ visuel, de manifester sa présence, et pas de dire quelque chose au passage, de son bureau, ou par dessus l'épaule (en plus ça devrait s'appliquer tout le temps)
- clarifier de façon très claire et très objective ses sentiments : "je suis contente", "je ne dis pas ça parce que je suis fâchée, mais pour faire avancer tel ou tel point", "j'ai tel problème avec tel comportement" "j'attends tel résultat", donc faire l'effort de supprimer sous entendus, non dits et "y'a pas besoin de le dire". Bon ok, mais ce n'est pas parce qu'une personne autiste a un handicap qu'elle n'a pas de sentiments, et ça peut aussi être perçu comme une attitude très rentre-dedans, ou très blessante, parfois, non ?
- peut-on poser clairement la question à quelqu'un : "je vois que nous avons des difficultés à nous comprendre, de mon côté, telle et telle chose, pouvons nous mettre en place un fonctionnement qui nous aide mutuellement" ?
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